Covid et transfert de malades. Le grand cirque et une ânerie gouvernementale.
Ce que nous vivons est un effondrement intellectuel sans précédent.
Ce que nous voyons est abject de manque de réflexion.
Décidemment ce gouvernement, cette administration ne nous épargnera aucune pitrerie, ni aucun raté.
Nous recommençons avec les transferts de patients !
Des transferts totalement surréalistes.
La région parisienne n’est pas une zone désertique du Sahara sans infrastructure ou un village au milieu de la jungle.
Nous y avons toutes les infrastructures possibles et imaginables y compris des milliers de mètres carrés vides dans des hôpitaux puisque nous y fermons des lits depuis des années.
Transférer les patients est donc d’une bêtise sans nom.
On amène effectivement du matériel et des médecins pour renforcer les équipes qui luttent sur place.
Mais côté communication, cela se voit moins pour les mamamouchis.
On installe un hôpital de campagne quand les infrastructures manquent.
Pas quand elles sont là et présentes.
Et je n’ose même pas vous parler ou évoquer les capacités des cliniques privées grandes absentes du débat sur les… capacités médicales !
Nous marchons sur la tête, et il est évident que dans ces conditions, le degré de confiance accordé par la population aux mamamouchis en place tend très logiquement vers 0.
Ils ne valent pas un clou.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Ce que nous vivons est un effondrement intellectuel sans précédent.
Ce que nous voyons est abject de manque de réflexion.
Décidemment ce gouvernement, cette administration ne nous épargnera aucune pitrerie, ni aucun raté.
Nous recommençons avec les transferts de patients !
Des transferts totalement surréalistes.
La région parisienne n’est pas une zone désertique du Sahara sans infrastructure ou un village au milieu de la jungle.
Nous y avons toutes les infrastructures possibles et imaginables y compris des milliers de mètres carrés vides dans des hôpitaux puisque nous y fermons des lits depuis des années.
Transférer les patients est donc d’une bêtise sans nom.
On amène effectivement du matériel et des médecins pour renforcer les équipes qui luttent sur place.
Mais côté communication, cela se voit moins pour les mamamouchis.
On installe un hôpital de campagne quand les infrastructures manquent.
Pas quand elles sont là et présentes.
Et je n’ose même pas vous parler ou évoquer les capacités des cliniques privées grandes absentes du débat sur les… capacités médicales !
Nous marchons sur la tête, et il est évident que dans ces conditions, le degré de confiance accordé par la population aux mamamouchis en place tend très logiquement vers 0.
Ils ne valent pas un clou.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Un énorme coup de pied au cul pour ces charlots est à prévoir, à moins qu’ ils n’ aient le temps de tuer les gens avec leur vaccin, en ce cas ils garderont l’impunité.
Sans déc, c’est la tête qu’ils essaient de nous tuer.
Sommes nous si cons, nous les français, que nous ayons une classe politique de cette trempe ?
3 patients transférés dans la journée d’hier, c’est en effet parfaitement ridicule, car en valeur relative ou absolue, c’est peanuts…
Qu’a-t-on promis au chef des urgences de Gironde pour qu’il se compromette médiatiquement et politiquement (ah ! C’est un fonctionnaire, alors il s’écrase, ou faillote) ?
J’en parlais justement hier avec mon très vieux voisin, Léon, et savez vous ce qu’il m’a répondu ?
» Aaaaaaaah les